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jeudi 29 décembre 2011

MAFIA MONTRÉALAISE ET SES UNIVERSITÉS

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Voici, je crois, le plus beau et le plus pertinent documentaire du monde
Au centreVoici des extraits de l'incroyable documentaire du regretté Pierre Falardeau ''LE TEMPS DES BOUFFONS''

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Au Ghana, à chaque année des rois-pantins fêtent leurs colonisateurs britanniques, ils entrent en transe..... Ne croyons plus aux Monarchies militaires-hiérarchistes!

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LA MAFIA MONTRÉALAISE DE L'ÉPOQUE

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TOUTES LES MAIRIES SONT DES MAFIAS

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TOUS LES MAIRES (sont des mafieux) SONT COUPABLES DE NE PAS ÉLIMINER LA PAUVRETÉ mais d'utiliser les statistiques pour nous laisser croire que tout s'améliore: mais ce qui s'améliore c'est l'.exode, la pauvreté croissante au cour des pays riches....

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Comme le Canada est toujours sous Tutelle Britannique: ne nous étonnons pas que Londres mette tous les chefs et les députés en place par divers truchements

ILS DANSENT SUR NOS TOMBES

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Hommage au regretté Pierre Falardeau

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Un grand ''MERCI'' au regretté cinéaste Pierre Falardeau pour son courage
d'avoir dénoncé les égoïstes royaux Britanniques

Voici le documentaire intégral
''Vous voulez faire rire le monde: et bien dites la vérité''
Vous allez en rire un bon coup

''LE TEMPS DES BOUFFONS''
de Pierre Falardeau
Vous allez vous bidonner en le visionnant tout en ciblant mieux les causes à nos maux

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Texte de Pierre Falardeau tiré de son documentaire .....
''LE TEMPS DES BOUFFONS''
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''C'est ca, le Beaver Club il y a 200 ans. C'est la mafia de l'époque. ... Toute la gang est là : un beau ramassis d'insignifiants chromés, médaillés, ...''

''On est au Ghana en 1957, avant l'indépendance. Jean Rouch tourne un documentaire, Les Maîtres fous, sur la religion des Haoukas. Chaque année, les membres de la secte se réunissent pour fêter. Ils sont possédés. Possédés par des dieux qui s'appellent le gouverneur, le secrétaire général, la femme du gouverneur, le général, la femme du docteur. En 1957, le Ghana, c'est une colonie britannique... quelques rois nègres pour faire semblant, mais les vrais maîtres sont anglais. Une colonie avec tout le kit: Union Jack, God Save the Queen, perruques, cornemuse, pis la face de la reine en prime. Ici, on connaît.''

''On est au Québec en 1985. Chaque année, la bourgeoisie coloniale se rassemble au Queen Elizabeth Hotel pour le banquet du Beaver Club. Ici, pas de possédés, juste des possédants. A la table d'honneur, avec leur fausse barbe et leur chapeau en carton, les lieutenants gouverneurs des 10 provinces, des hommes d'affaires, des juges, des Indiens de centre d'achats, des rois nègres à peau blanche qui parlent bilingue. Comme au Ghana, on célèbre le vieux système d'exploitation britanique. Mais ici, c'est à l'endroit. Ici, les maîtres jouent le rôle des maîtres, les esclaves restent des esclaves. Chacun à sa place!''

''- Bonsoir, mesdames et messieurs. Good evening, ladies and gentlemen. My name is Roger Landry. I am your president of the Beaver Club. It is my privilege to welcome you to the twenty-seventh annual dinner of the Beaver Club celebrating this year the two-hundredth anniversary of the Beaver Club in Montreal. Sont réunis ici ce soir, dans cette illustre enceinte, des personnalités dont le seul nom évoque assurément la grandeur et l'honorabilité; puisque, en fait, à cette table ils sont tous honorables. En titre... Mais rassurez-vous, ce soir, exceptionnellement, ils redeviennent tous humains et les règles du protocole sont dès maintenant abolies. Avant de ce faire, j'ai reçu, il y a quelques instants, a few minutes ago this telegram: I am very sorry that I am unable to be with you tonight, but I am pleased to be able to send congratulations on the occasion of the anniversaries. Je vous souhaite à tous une soiré agréable et au Beaver Club beaucoup de succès dans les années à venir. The right honorable prime minister of Canada, Brian Mulroney."

''Des bourgeois pleins de marde d'aujourd'hui déguisés en bourgeois pleins de marde d' autrefois célèbrent le bon vieux temps. Le bon vieux temps, c'est la Conquête anglaise de 1760; par la force des armes, les marchands anglais s'emparent du commerce de la fourrure. Chaque année, les grands boss se réunissent pour fêter leur fortune. Ils mangent, ils boivent, ils chantent. Ils s'appellent McGill, Ellice, Smith, Frobisher, Mackenzie. C'est ça, le Beaver Club il y a 200 ans. C'est la mafia de l'époque. Ils achètent tout : les terres, les honneurs, les médailles, le pouvoir, tout ce qui s'achète. La gang de fourrure forme lentement l'élite de la société. Les voleurs deviennent tranquillement d'honorables citoyens. Ils blanchissent l'argent sale en devenant banquiers, seigneurs, politiciens, juges. C'est ça, le Beaver Club au début.''

''Deux cents ans plus tard, leurs descendants, devenus tout à fait respectables, font revivre cette fête par excellence de l'exploitation coloniale. Le gros Maurice, ministre des Forêts, devenu boss d'une multinationale du papier. Jeanne Sauvé, sa femme, administrateure de Bombardier, d'Industrial Insurance, et gouverneuse générale. Marc Lalonde, ancien ministre des Finances, maintenant au conseil d'administration de la City Bank of Canada. Francis Fox, ministre des Communications, engagé; par Astral Communications. Toute la gang des Canadiens français de service est là, costumé en rois nègres biculturels. Des anciens poiticiens devenus hommes d'affaires. Des anciens hommes d'affaires devenus politiciens. Des futurs politiciens encore hommes d'affaires.''

''Toute la rapace est là: des boss pis des femmes de boss, des barons de la finance, des rois de la pizza congelée, des mafiosos de l'immobilier. Toute la gang des bienfaiteurs de l'humanité. Des charognes à qui on élève des monuments, des profiteurs qui passent pour des philanthropes, des pauvres types amis du régime déguisés en sénateurs séniles, des bonnes femmes au cul trop serré, des petites plottes qui sucent pour monter jusqu'au top, des journalistes rampants habillé en éditorialistes serviles, des avocats véreux, costumés en juges à 100 000$ par année, des liche-culs qui se prennent pour des artistes. Toute la gang est là : un beau ramassis d'insignifiants chromés, médaillés, cravatés, vulgaires et grossiers avec leurs costumes chics et leurs bijoux de luxe. Ils puent le parfum cher. Sont riches pis sont beaux; affreusement beaux avec leurs dents affreusement blanches pis leur peau affreusement rose. Et ils fêtent...''

''Au Ghana, une fois par année, les pauvres imitent les riches. Ici, ce soir, les riches imitent les riches. Chacun à sa place... Les bourgeois anglais se déguisent en bourgeois anglais, les collabos bilingues s'habillent en collabos bilingues, souriant et satisfaits, les Écossais sortent leur jupe écossaise, les Indiens se mettent des plumes dans le cul pour faire autochtones. On déguise les Québécois en musiciens pis en waiters. Les immigrés? Comme les Québécois, en waiters! Chemises à carreaux et ceintures fléchée. Manque juste les raquettes pis les canisses de sirop d'érable. Des porteurs d'eau déguisés en porteurs de champagne. Alouette, gentille alouette!''

''C'est toute l'histoire du Québec en raccourci. Toute la réalité du Québec en résumé : claire, nette pour une fois, comme grossie à la loupe. Ce soir, les maîtres fêtent le bon vieux temps. Ils fêtent l'âge d'or et le paradis perdu. Ils crient haut et fort, sans gêne, leur droit au profit, leur droit à l'exploitation, leur droit à la sueur des autres. Ils boivent à leurs succès. Ils chantent que tout va bien, que rien ne doit changer, que c'est pour toujours... toujours aux mêmes, toujours les mêmes.''

''Ils sont pareils partout... à New York, à Paris, à Mexico. Je les ai vus à Moscou vomir leur champagne et leur caviar sur leurs habits Pierre Cardin. Je les ai vus à Bangkok fourrer des enfants, filles ou garçons, pour une poignée de petit change. Je les ai vus à Montréal dans leur bureau avec leurs sales yeux de boss, leur sale voix de boss, leur sale face de boss, hautains, méprisants, arrogants. Des crottés avec leur chemise blanche pis leur Aqua Velva. Minables avec leur Mercedes pis leur raquette de tennis ridicule. Comme des rats morts. Gras et épais avec leurs farces plates pis leurs partys de cabane à sucre. Pleins de marde jusqu'au bord à force de bêtise et de prétention. Crosseurs, menteurs, voleurs. Et ça se reproduit de père en fils. Une honte pour l'humanité!''

''Au Ghana, les pauvres mangent du chien. Ici, c'est les chiens qui mangent du pauvre. Et ils prennent leur air surpris quand on en met un dans une valise de char.''

''- Ensemble, merci au chef, nos applaudissements, nous lui disons merci. Ladies and gentlemen, together let's thank magnificently. Bravo! Et maintenant, as president of the Beaver Club, may I say to you the following : never any club has been so honoured and so magnificently rewarded on its two-hundredth anniversary to have such a magnificent membership as you are. A vous tous, nos membres, à nous tous, applaudissons-nous. We are magnificent people and I raise my hat to all of us. Bravo. You are as beautiful as I think I am. Thank you very much. Good evening. Bravo. Good night. Tout le monde, les serviettes, on fête, on témoigne notre appréciation. Everyone, yes, that's right! Bravo.''

''Applaudissons-nous. We are magnificent people. Quelle bouffonnerie!''

''- Bravo. God bless you.''


"Ils ne sont grands que parce que nous sommes à genoux."
La Boétie

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Voici une chanson incroyable où le regretté cinéaste PIERRE FALARDEAU va vous faire rire à vous rouler par terre

Qu'il était génial cet homme


LE TEMPS DES BOUFFONS et LES HUMAINS: ouvres magnifiques de Pierre Falardeau



Pierre Falardeau
''LES HUMAINS''



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Et je vous partage cette chanson éveilleuse
'Y'A DES CIGALES DANS LA FOURMILIÈRES''


mercredi 28 décembre 2011

MÉCONNAÎTRE LES RÉELS BESOINS DES JEUNES

«L’ENFANT N’A PAS DE PROBLÈMES SAUF À PARTIR DU MOMENT QU’IL ENTRE À L’ÉCOLE DU MÉRITE».


Dénonçons l'esprit de compétition enseigné par nos Écoles
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L'Éducation fait que les enfants se préparent mentalement à se compétitionner ultérieurement

La guerre des pays modernes est la pire : nous nous massacrons les uns les autres sans avoir besoin d’armes de combats, mais nous le faisons avec l’ambition, la compétition, la consommation, l’endettement des pauvres, la désinformation, en encourageant la décadence et la dépravation, en habituant aux drogues, pour vendre et rendre dépendant, à coups d’homosexualités et d’autres banalisations!

Le Système se reproduit par ses Écoles

L'École sème les germes de violences, elle conditionne aux mentalités antifraternelles

C'est l'École qui forme les égoïstes, les voleurs diplômés, les exploiteurs san coeur.....

« Ne poussez pas la rivière, elle coule toute seule »


DROITS FRATERNELS DES JEUNES


De l'École capitaliste à L'ÉDUCATION AUX VALEURS FRATERNELLES


mercredi 21 décembre 2011

maladies cardio-vasculaires

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Genèse 1.29
Et Dieu dit: Voici, je vous donne toute herbe portant de la semence et qui est à la surface de toute la terre, et tout arbre ayant en lui du fruit d'arbre et portant de la semence: ce sera votre nourriture.


OMS | Maladies cardio-vasculaires


Les maladies cardio-vasculaires sont la première cause de mortalité dans le monde: il meurt chaque année plus de personnes en raison de maladies cardio-vasculaires que de toute autre cause.

On estime à 17,3 millions le nombre de décès imputables aux maladies cardio-vasculaires, soit 30% de la mortalité mondiale totale. Parmi ces décès, on estime que 7,3 millions sont dus à une cardiopathie coronarienne et 6,2 millions à un AVC (statistiques 2008).


D’ici 2030, près de 23,6 millions de personnes mourront d’une maladie cardio-vasculaire (cardiopathie ou AVC principalement). D’après les projections, ces maladies devraient rester les premières causes de décès si les gens ne deviennent pas végétaliens

Quels sont les facteurs de risque?

Les principaux facteurs de risques des cardiopathies et des AVC, sont une mauvaise alimentation, un manque d’activité physique, le tabagisme et l'usage nocif de l’alcool. Ces facteurs de risque comportementaux sont responsables d'environ 80% des maladies coronariennes et cérébraux vasculaires.

Comment réduire la charge des maladies cardio-vasculaires?

Les cardiopathies et les AVC pourraient être évités en adoptant une alimentation saine, en pratiquant régulièrement une activité physique et en évitant l’exposition à la fumée de tabac. Les individus peuvent réduire le risque qu’ils encourent de développer une maladie-cardio-vasculaires en ayant une activité physique régulière, en évitant la consommation de tabac et le tabagisme passif, en privilégiant un régime alimentaire riche en fruits et en légumes, en consommant le moins possible de denrées riches en graisses, en sucre et en sel et en se maintenant à un poids sain.

CE N'EST PAS UNE QUESTION DE CHOIX NI D'OPINIONS :
MAIS DE DROITS ET DE DEVOIRS !

Les ANIMAUX DE BOUCHERIES consomment plus de céréales que 60 milliards d'humains, et dire que ces mangeurs de viandes tentent de nous faire la morale et nous parlent de ''surpopulation''...... (on est plutôt en surpopulation d’égoïstes/cons/carnivores .....

Ne pas manger les animaux, ce n'est pas une question de choix ni d'opinions mais de morale, de droit, de gros bon sens, de responsabilité envers les plus petits.....
Nous n'avons pas le droit de leurs enlever la vie pour un peu de chair. Polluer ce n'est pas un choix, tuer, chasser non plus : ce sont des gestes inacceptables car nous ne sommes pas obligés d'agir ainsi et nous ne sommes plus en survies .....
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Ce n'est pas une question de choix mais de devoirs, de responsabilités, d'écologie, (environnementale), d'être cohérents, d'empathies..... d.évolutions, de sensibilité, ...... soyons rationnels et ne pensons plus avec notre ventre/dépendances/sexe.....

Nous devons considérés les petits, les faibles et les animaux comme des personnes mineures et à protéger. Abuser d'eux est considéré comme lâche voire un crime.

Les FORTS protègent les petits chez les humains, mais chez les animaux les forts s'unissent pour bouffer les petits. Si on se croit différents des animaux alors agissons autrement et avec noblesse et empathie!

Hélas ..... Le darwinisme social et l`élitisme ne sont pas du Darwinisme, ne les confondons pas.

Les élites croient qu`ils sont une forme avancée de l`espèce humaine. Ils ont ainsi adopté les théories de Darwin sur l`évolution biologique en une théorie du darwinisme social. Pendant des siècles sils considéraient le peuple comme un troupeau a tondre. Dans leur système de croyance, seul ceux qui ont prouvé leur valeur sur plusieurs générations par leur capacités de contrôle, de domination sont considérés comme valables et ont la valeur nécessaire pour être introduit dans leurs cercles.

Juste en passant, je vous partage le gif animé suivant.....

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Mangez un concombre après votre dernier repas du jour et 4 heures avant de vous coucher, et vous ne serez jamais malades, ou du moins vos maux chroniques ne vous feront plus souffrir ..... Et espérons que nos États eugénistes ne rendent pas toxiques ces bons aliments/médicaments....
Il serait bien qu'on retrouve et qu'on resème ces concombres qui portent leurs graines à maturité car ce sont eux qui sont les plus sains pour nous.

blog en développements ......... revenez pour voir la suite .....

lundi 19 décembre 2011

MALADIES SEMÉES SCIEMMENT PAR L'OMS ET SES ORDRES DE MÉDECINS

La "Round Table" vit le jour le 5 février 1981 grâce à Cecil Rhodes en Angleterre. Ses membres fondateurs furent, entre autres, Stead, lord Esher, lors Alfred Milner, lord Rothschild, lord Arthur Balfour. La structure de ce groupe était - comme celle des SS de Hitler - calquée sur la Société de Jésus, l'ordre des JESUITES. Ses membres débattent des problèmes politiques et économiques internationaux, et de ceux de l'Europe en particulier. L'influence que la DGAP exerce en Allemagne n'est probablement pas aussi grande que celle du CFR aux États-Uni. Le Britannique Lord Milner en prit, plus tard, la direction. En sont issus le "Royal Institute of International Affairs" (RIIA) et le CFR. Milner est aussi un des membres principaux du "Comité des 300". Olof Aschberg (1877-1960) à la tête de la banque Nya Banken de Stockholm. Il fut le grand financier servant d’intermédiaire entre les élites de Wall Street et de la City d’un côté et les dirigeants bolcheviques de l’autre. Son surnom était le « banquier de la Révolution mondiale ». Comme le rappelle Antony Sutton, la banque d’Olof Aschberg avait une filiale à Londres, la Bank of North Commerce, dont le président Earl Grey appartenait tout simplement à l’équipe de Cecil Rhodes et de Lord Milner [51]. Ce dernier joua aussi un rôle capital au sein de l’oligarchie anglo-saxonne.

Son but principal était d'élargir la domination britannique

La Couronne Britannique a réussi à construire et à maintenir avec succès le «business de la maladie» pendant plus de 60 ans, grâce à l’influence personnelle, au contrôle des banques, à la propriété des sociétés pharmaceutiques et pétrochimiques, à l’appui financier des hommes politiques favorables et à une multitude d’autres pratiques développées à l’origine par le patriarche John D Rockefeller. Comme le montre cet exposé, David Rockefeller maintient les traditions.

Conseil des relations étrangères et la Réserve fédérale. Père de James P., Paul M. Warburg a été un des pères fondateurs du Conseil des relations étrangères et le système de la Réserve fédérale. A ce jour, le système de la Réserve fédérale est composée et dirigée par les membres du Conseil sur les relations étrangères. Remarquablement absent des livres d'histoire, et les cours sont économiques toute mention du rôle du Conseil des relations étrangères à l'établissement et le fonctionnement du Système de Réserve fédérale.
CFR ET EUGÉNISME

La famille Rockefeller, via la Chase Bank et la Standard Oil Company, ainsi que JP Morgan via la Banque Morgan, étaient les principaux soutiens financiers du troisième Reich nazi en Allemagne. En fait, Standard Oil était le principal actionnaire de IG Farben qui était elle aussi, avec la famille Rockefeller, le plus important actionnaire de la Standard Oil.





Pourquoi la folle furieuse Margaret Chan (la boss de l’OMS) à rencontrer toutes ces fondations qui parlent ouvertement d’eugénisme


Déja cela démontre l’importance de ces fondations,qu’elle place AVANT les ambassadeurs,ce qui est assez significatif et montre l’importance de ces fondations et le poids de leurs membres,qui sont impliqués dans les affaires du monde,alors qu’ils ne sont pas élus,et qu’ils ne sont soumis à aucun controle,rien que cela est très très très grave.

Je ne connaissais pas la Sasakawa fondation et franchement ca vaut le coup d’oeil,article bakchich info ,des aniciens criminels de guerre reconvertis dans la mafia et pronant l’eugénisme,youpi,en voila des amis des Rockefeller et bill Gates déja fortement préocupés par le controle des populations !


’OMS fait des réunions avec toute une clique de dégénérée complet qui dit ouvertement qu’il faut réduire la population mondiale :


” Sous le titre « Le Club des milliardaires tente de juguler la croissance démographique », le Sunday Times du 24 mai a révélé la tenue d’une réunion secrète qui en dit long sur la volonté politique de l’oligarchie financière.

La rencontre, qui s’est tenue à New York le 5 mai dernier, a été organisée à l’initiative de Bill Gates, fondateur du monopole Microsoft, grand promoteur des simulateurs de meurtres sur ordinateur et parrain de Facebook, de Warren Buffet, spéculateur milliardaire et financier de la Fondation Gates, et de David Rockefeller. Au-delà de ces trois là, la petite sauterie a réuni Michael Bloomberg, maire de New York et fondateur de l’agence d’information financière du même nom ; Peter Peterson, fondateur du groupe financier Blackstone et grand avocat de l’austérité budgétaire ; Julian Robertson, patron du fond Tiger Management ; John Morgridge, ancien pdg de Cisco Systems ; Eli Broad, spéculateur immobilier ; David Rockefeller Jr, fils du premier ; Ted Turner, fondateur de CNN ; et Oprah Winfrey, animatrice phare de la télé américaine.

La réunion a débuté par une présentation de chacun des participants sur la cause qu’il défend, mais très vite, nous apprend le Times, la discussion s’est transformée, sous l’impulsion de Bill Gates, en un consensus sur la « surpopulation », comme la cause supérieure qui englobe les autres. Un autre participant a confié qu’ils étaient aussi parvenus à un consensus pour mettre en place une stratégie « dans laquelle la croissance démographique serait attaquée comme menace écologique, sociale et industrielle ». Les participants ont souligné leur « besoin d’être indépendant des agences gouvernementales qui se révèlent incapables d’affronter le désastre que tous nous voyons venir ». De prochaines réunions sont d’ores et déjà prévues pour organiser la mise en œuvre de cette stratégie. (Source)


2• Ted Turner, l’un des participant et riche propriétaire d’un empire médiatique, est fermement imprégné d’eugénisme et de réduction de la population mondiale qu’il voudrait voir baisser de 95% pour être idéale, selon un interview qu’il a accordé à Audubon Magazine en 1996: «Une population totale de 250-300 millions de personnes, un déclin de 95% par rapport aux présents niveaux, serait idéal». Turner a donné un milliard de dollars à une organisation nommée Fondation des Nations Unies. Cette organisation créée par Turner et la Turner Fondation, sont dévouées au contrôle de la population par la distribution de condoms, la promotion de l’avortement et autres méthodes pour promouvoir l’agenda eugénique, tout comme d’autres tels que Bill et Melinda Gates qui ont aussi donné de larges sommes d’argents à des «organisations charitables» qui servent réellement à promouvoir le mouvement eugénique. Turner a même reçu un prix de l’ONU pour son travail en développement durable, qui n’est qu’un autre nom code pour la réduction de la population. (Source)


3• La Fondation Bill & Melinda Gates, le géant américain de l’agrobusiness DuPont/Pioneer Hi-Bred, l’un des plus grands propriétaires de fabriques de semences brevetés et génétiquement modifiés (OGM) et de produits agrochimiques apparentés; Syngenta, une compagnie de semences OGM et de produits agrochimiques basée en Suisse par l’intermédiaire de sa Fondation Syngenta; la Fondation Rockefeller, ce groupe privé qui a créé la «révolution génétique», avec plus de 100 millions de dollars d’argent des semences depuis les années 1970; le CGIAR, réseau mondial créé par la Fondation Rockefeller afin de promouvoir son idéal de pureté génétique à travers un changement de l’agriculture, travaillent ensemble à des projets communs, dont la Réserve mondiale de semence à Svalbard.

Le CGIAR a été façonné lors d’une série de conférences privées tenues au centre de conférence de la Fondation Rockefeller à Bellagio, en Italie. Les principaux participants aux débats de Bellagio étaient George Harrar, de la Fondation Rockefeller ; Forrest Hill, de la Fondation Ford ; Robert McNamara, de la Banque mondiale, et Maurice Strong, l’organisateur international de la famille Rockefeller au niveau de l’environnement et qui, en tant que fiduciaire de la Fondation Rockefeller, organisa Sommet de la Terre (Earth Summit) de l’ONU, à Stockholm, en 1972. Cela faisait partie de l’objectif de la fondation depuis des décennies afin de mettre la science au service de l’eugénisme, une hideuse version de la pureté raciale, et qui a été appelé Le Projet.


«Le Projet» est le projet de la Fondation Rockefeller et de puissants intérêts financiers depuis les années 1920 afin d’utiliser l’eugénisme, plus tard rebaptisé génétique, pour justifier la création d’une race de maitres créée par génie génétique. Hitler et les Nazis l’appelaient la race des maitres Aryens.

L’eugénisme d’Hitler fut financé dans une large mesure par Londres via la même Fondation Rockefeller qui construit aujourd’hui une «réserve de semences du jugement dernier» afin de préserver des échantillons de chaque semence présente sur notre planète. A présent, ceci devient vraiment intrigant. La même Fondation Rockefeller créa la pseudo-science de la discipline de la biologie moléculaire dans leur poursuite incessante visant à réduire la vie humaine à la «définition d’une séquence génique» qui, espéraient-ils, pourrait alors être modifiée dans le but de modifier les caractéristiques humaines à volonté. Les scientifiques de l’eugénisme d’Hitler, dont beaucoup ont été tranquillement amenés aux États-Unis après la guerre afin de poursuivre leurs recherches biologiques eugénistes, ont jeté une grande partie des bases du génie génétique des diverses formes de vie, soutenues ouvertement en grande partie jusqu’au sein du troisième Reich par les généreuses bourses de la Fondation Rockefeller.

La même Fondation Rockefeller créa ce que l’on appelle la révolution verte, durant un voyage au Mexique effectué en 1946 par Nelson Rockefeller et l’ancien Secrétaire à l’agriculture du New Deal et fondateur de la compagnie Pioneer Hi-Bred Seed, Henry Wallace.

La Révolution verte visait à résoudre le problème de la faim dans le monde à un haut degré, au Mexique, en Inde et dans d’autres pays choisis où Rockefeller travaillait. L’agronome de la Fondation Rockefeller, Norman Borlaug, remporta un prix Nobel de la paix pour son travail, une chose dont il n’y a pas de quoi se vanter lorsque des gens tel que Henry Kissinger ont partagé le même prix.

Rotschilds, Rockefellers, Trilatérale, CFR, Bilderberg...... tous créés par la Couronne Britannique, ce sont de ses tentacules.

L’idéologie d’eugénisme et de réduction de la population est bien intégrée dans le mouvement environnementaliste et celui de la théorie du réchauffement climatique causé par l’homme. Que ce soit correctement attribué à l’homme ou pas, les mêmes idées de réduire le nombre de population mondiale, de contrôler les naissances en adoptant des mesures eugéniques imitant la politique de l’enfant unique de la Chine et autres mesures dont l’avortement et la taxation d’enfants supplémentaires, sont présentes. L’humain et même les enfants sont le problème qu’il faut éliminer.

Donc, l'OMS est impliqué dans cette politique NAZIE (il n’y a pas d’autres mots) de controle de la population ou plutôt de DÉPEUPLEMENT VOLONTAIRE,c’est à dire D’EXTERMINATION PLANÉTAIRE..... Comment voulez vous faire confiance à l’OMS quand on sait cela,imaginer que la boss de l’organisation qui s’occupe de la santé sur la planète discute avec des mafieux nazis qui planifient grace à leurs fondations (excemptées d’impots) un dépeuplement massif sur terre.







jeudi 15 décembre 2011

MATRIARCAT ET SES GUERRES DES CHIENNES


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Le vidéo suivant vous offre enfin de quoi d'intelligent à raconter lors de vos rencontres en famille, et ainsi impressionner vos ami(es) par les SCOOPS suivants : .....
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Étonnez-les et corrigez les mensonges de cette Histoire des bandits
Voici la plus belle scène au monde: une scène où une famille vit pleinement l'amour
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Protégeons la Famille....... Les détruits et les déviés cherchent à détruire et à dévier !

ESPIONNONS LES 1009 COUSINS GERMAINS DE LA COURONNE BRITANNIQUE.... DUCS, COMTESSES, BARONS, PRINCES.....
METTONS-LES SOUS SURVEILLANCES CONTINUES SINON
NOUS NE VIVRONS JAMAIS EN PAIX

QUI MANIPULENT LES MÉDIAS POUR DÉSINFORMER: LES ROIS, LES PRINCESSES...... EUGÉNISTES
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PROPAGANDISTES ROIS, PRINCES, DUCS, COMTESSES, BARONNES ...... RÉCHAUFFEMENT CLIMATIQUE.

LA QUEEN BEATRIX ET LA PROPAGANDE DU RÉCHAUFFEMENT CLIMATIQUE

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dimanche 11 décembre 2011

MAFIAS MILITAIRES DES GÉNÉRAUX ET LEURS GUERRES et leurs Crimes COntre l'Humanité

ASSASSINATS DES KENNEDYS ---- par le Gouvernement des États-Unis et Londres

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CRIMINELS IMPUNIS


Depuis, de nombreux livres et documentaires ont apporté des éléments soutenant l'hypothèse selon laquelle Johnson aurait fait partie des commanditaires du meurtre de John F. Kennedy. C'est également l'opinion de l'épouse de ce dernier, Jacqueline Kennedy. Johnson était en effet impliqué dans pas moins de quatre enquêtes criminelles. Celles-ci furent classées après l'accession de Johnson à la présidence.


La famille Johnson est d'ascendance écossaise-irlandaise et anglaise.

Il reçoit son premier brevet de franc-maçon le 30 octobre 1937.


Johnson sert lors de la Seconde Guerre mondiale en tant que lieutenant commander (capitaine de corvette) dans la Marine et est décoré de la Silver Star (étoile d'argent), de la médaille de la campagne dans le Pacifique Sud et de la médaille de la Victoire... Cependant, les circonstances durant lesquelles il aurait « gagné » cette récompense sont controversées....


CONSPIRATEUR CHEF MILITAIRE

AU SERVICE DE LONDRES


En 1948, Lyndon B. Johnson se présente de nouveau au Congrès et, cette fois ci, est élu. Mais il faut remarquer que les résultats de cette élection furent aussi très discutés. Bien qu'il ait remporté l'élection générale avec une majorité écrasante, il n’avait gagné l'élection primaire que par 87 voix sur un million de suffrages exprimés. Une plainte est officiellement déposée, mais Johnson engage Abe Fortas pour le représenter devant la cour fédérale. Grâce à des manœuvres légales, Fortas parvient à interrompre l'enquête. Une fois arrivé au Sénat, il est affecté au Comité des forces armées, et plus tard, en 1950, il participe à la création du Sous-comité d'enquête sur la mise en état d’alerte des forces armées. Johnson en devient le directeur et dirige plusieurs enquêtes sur les coûts et l'efficacité de la défense américaine. Ces investigations lui valent l'attention nationale ainsi que le respect de ses aînés au Sénat.


LYNDON LE SABOTEUR


Le succès de Johnson au Sénat fait de lui un candidat démocrate potentiel pour les primaires des présidentielles de 1956. Il est le « fils préféré » du Texas lors de la convention nationale du parti en 1956. En 1960, après l'échec de la coalition appelée Stop Kennedy que celui-ci a formé avec Adlai Stevenson, Stuart Symington, et Hubert Humphrey, Lyndon B. Johnson obtient 409 voix lors la convention démocrate, mais c'est John F. Kennedy, sénateur du Massachusetts, qui est élu après ballottage.


... l'arnaque ''apollo'' ...

Johnson savait que le programme Apollo et l'élargissement de la NASA étaient indispensables comme diversions, donc il a piloté la recommandation vers un programme pour l'atterrissage d'un Américain sur la Lune. Sous l'influence de Johnson, les États-Unis explorent mensongèrement l’espace dans le cadre d'un programme qu’il a soutenu dès ses débuts. Lorsque trois astronautes du programme Apollo font le tour de la Lune en décembre 1968, Johnson les félicite en disant : « Vous nous avez emmenés... nous tous, tout autour du monde, dans une nouvelle ère… ».


En août 1963, Johnson a été touché par un scandale au Sénat quand Bobby Baker, le secrétaire de la majorité au Sénat et un protégé de Johnson, firent l'objet d'une enquête par le Comité d'éthique du Sénat pour des allégations de corruption et malfaisance financières. Baker a démissionné en octobre, et l'enquête s'arrêta à Johnson. La publicité négative de l'affaire s'alimentant de rumeurs dans les milieux de Washington que Kennedy décida de laisser tomber Johnson, le rayant de la liste démocrate à la prochaine élection présidentielle 1964.


IL FIT ASSASSINER Martin Luther King


Un mois après la publication du rapport, l'assassinat de Martin Luther King provoqua des émeutes dans plus de cent villes

Johnson renforce constamment l'effort de guerre entre 1965 et 1968, ce qui entraîne la mort de milliers de soldats américains, et peut-être 60 fois plus de soldats vietnamiens (les estimations vont de 500 000 à 4 000 000). L'escalade militaire, bien que significative, n'est jamais suffisante pour faire pencher la balance sur le plan militaire. La présidence de Johnson est très vite dominée par la guerre du Viêt Nam. De plus en plus de soldats américains meurent au Viêt Nam....

Des manifestants lui disent :

(« Hé, hé, LBJ, combien d’enfants as-tu tué aujourd’hui ? »)


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Extraits tirés du film : JFK, VERSION COMPLÈTE

Enquête Garrisson

Jim Garrisson, procureur de la Nouvelle-Orléans, Louisiane

Son enquête

Animé par la Commission Warren qui lui semblait très mal organisée, Jim Garrisson voulait que la vérité soit rendue au peuple américain au sujet de l'assassinat de leur président, un dossier qui dépassait sa juridiction. Mais il devait partir à zéro, trouver des témoins, les interroger, trouver des coupables et leur intenter un procès et les faire condamné. C'était le seul moyen d'invalider la Commission Warren et de réouvrir l'enquête. Garrisson s'entoure des ses meilleurs enquêteurs et avec eux, mène une enquête non publique.

Dans un premier temps, il fallait déterminer les fréquentations du présumé meurtrier, Lee Harvey Oswald afin d'obtenir le maximum d'informations à son sujet. L'équipe Garrisson a vite constaté que le nom qui revenait le plus souvent dans les fréquentations d'Oswald était un certain David Ferrie, qu'il connaissait personnellement. Il l'a convoqué et l'a interrogé. Il demande à Ferrie s'il connaît Lee Harvey Oswald. Ferrie nie. Quand Garrisson a établi que novembre 1963, David Ferrie était en route pour le Texas, ce dernier s'est mis à se contredire plusieurs fois sur une certaine chasse à l'oie qui devait avoir lieu avec des amis, si bien qu'il envoyait Ferrie au FBI pour enquête approfondie. Le FBI le relâche rapidement. Premier échec de l'enquête Garrisson.

En été 1963, Oswald a été vu dans les rues de la Nouvelle-Orléans donner des tractes favorisant Cuba. Une brève échauffourée éclate avec quelques exilés cubains qui le croyait anticastriste. Cette escarmouche en a résulté à une invitation pour un débat télévisé qu'Oswald accepte. Revenons cependant aux tractes. Il y avait l'adresse du 544 rue Camp. Or, sur la rue qui croisait la rue Camp, la rue Lafayette, se trouvait les bureaux du détective privé Guy Bannister, au 531 rue Lafayette. Ces deux adresses étaient du même immeuble, mais deux adresses différentes qui menaient au même endroit. Garrisson connaissait bien Bannister, il déjeunait régulièrement avec lui. Il était impossible par contre d'interroger Bannister, lui qui était décédé d'une crise cardiaque, en juin 1964.

Bannister, un anticommuniste, travaillait dans les services de renseignements de la Marine avant avoir été membre du bureau du FBI de Chicago et à sa retraite, il est venu pratiqué dans le privé, dans la Nouvelle-Orléans. Mais le plus étrange, c'est qu'à proximité de son bureau se trouvait l'ONI, le FBI et la CIA. C'est en endroit plutôt étrange pour un type comme Oswald, qui était reconnu communiste. Un assistante de Bannister, un certain Martin, a confié à Garrisson qu'il avait vu dans les bureaux de Bannister, Lee Harvey Oswald, David Ferrie, plusieurs exilés cubains ainsi qu'un certain Clay Bertrand. Malgré que les bureaux de Bannister soit au coeur du quartier des services secrets de la Nouvelle-Orléans, on y observait fréquemment des déplacements d'armes et de munitions sans que jamais personne n'ait à répondre de ce trafic. Ces armes étaient destinées à un camp de mercenaires que dirigeait Bannister mais dont David Ferrie en était entraîneur et ils travaillaient à s'exercer pour l'opération Mangouste, qui visait à refaire l'invasion de Cuba, que Kennedy avait refusé de faire suite au désastre de la Baie-des-cochons. Garrisson concentrait donc ses recherches sur ce Clay Bertrand, maintenant, et va voir un ami avec qui il a fait son droit, Dean Andrews, un avocat, qui avait déjà eu des communications brèves avec Bertrand.

Andrews lui dit qu'après l'assassinat de Kennedy, Clay Bertrand lui a téléphoner pour lui demander d'assurer la défense d' Oswald, ce qu'il a refusé. Mais s'il s'est contrarié en disant au FBI qu'il avait déjà vu Bertrand et qu'il mesurait 6'2 et qu'à la Commission Warren, il a dit qu'il mesurait 5'8, c'est parce qu'il avait reçu des pressions et que la vérité était qu'il ne savait pas de quoi avait l'air Bertrand, qu'il ne faisait que lui donner des causes à l'occasion. Mais Garrisson avait les moyens de prouver que Bertrand et Andrews se sont rencontré. Andrews n'a jamais voulu indiquer qui est Bertrand, craignant pour sa vie.

Garrisson trouve une autre personne qui connaît Bertrand. Un certain Willie O'Keefe emprisonné pour prostitution. O'Keefe a admit avoir rencontré Clay Bertrand dans un bar et Ferrie pour la première fois chez Bertrand et en compagnie d'un autre garçon, ils ont eu entre eux des relations sexuelles. Il a connu Lee Harvey Oswald et plusieurs cubains chez Ferrie alors qu'ils s'y trouvait en compagnie de Bertrand. Il affirme que tous, sauf Oswald, avaient encore fait la fête sexuellement entre eux, ce soir-là. O'Keefe a affirmé aussi qu'il a été question de l'assassinat de Kennedy, que David Ferrie est le cerveau qui a imaginé le tir en position triangulaire. Selon eux, comme Kennedy voulait cesser la guerre froide, reconsidérer la position américaine sur les Russes et comme il refusait d'envahir Cuba et qu'il voulait retirer les troupes américaines en lutte contre le Vietnam communiste, ils en ont donc déduit que Kennedy était lui-même un communiste et c'est la raison pour laquelle il fallait se débarrasser de lui. O'Keefe avait aussi cette vision de Kennedy parce qu'il a déclaré que l'élections serrée qui a permis à Kennedy de l'emporter sur Nixon démontre qu'elles étaient truquées et elles ont privé le pays d'un grand président et que la mort de Kennedy était un très grand jour pour l'histoire des États-Unis. Finalement, au sujet d'Oswald, O'Keefe a dit qu'il n'y était absolument pour rien dans l'assassinat du président.

L'équipe Garrisson n'en fini plus de faire des découvertes. En effet, en 1961, Lee Harvey Oswald, aurait acheté des camions au nom du groupe "Les amis pour la démocratie pour Cuba" qui avait comme haut responsable, Guy Bannister. Ce dernier utilisait donc le nom d'Oswald pour acheter des camions alors que Oswald lui-même, vivait en Russie à cette époque. Le faux Oswald allait régulièrement s'exercer au tir et il adorait tirer sur les cibles des autres. Quand les propriétaires des cibles en questions le surprenait, il s'excusait en disant qu'il était en train d'imaginer qu'il tirait sur John F Kennedy. Il y avait donc maintenant deux Lee Harvey Oswald. Jim Garrisson a trouvé interprété ces détails comme quoi la Commission Warren a tout mis en oeuvre pour faire passer Oswald comme un communiste. Et ça se tient, parce que comme le président avait l'air à vouloir cesser la friction avec les communistes, le fait qu'il soit abattu par un communiste aurait fait resurgir la fièvre gouvernementale de combattre le communisme en Russie, à Cuba et au Vietnam.

On sait qu'Oswald a quitté les Marines sous prétexte que sa mère était malade. Trois jours plus tard, il s'envole pour la Russie où il avait un amour pour la vie socialiste. Là-bas, il disparaît 10 semaines, probablement avec le KGB. Il mène la grande vie, a des aventures avec des femmes à plusieurs occasions. Il rencontre beaucoup de personnes qui trouve étrange un américain qui choisir devenir citoyen russe. Il rencontre une femme, Marina, qui, six semaines plus tard, devenait sa femme et un an plus tard, ils ont un premier enfant, une fille. On présume que si Oswald menait la grande vie en Russie, c'est parce qu'il a vendu des secrets de la Marines aux russes. Parce que six mois après son arrivée, un appareil U-2 réputé non repérable piloté par un certain Gary Powers est abattu au-dessus de la Russie. Il soutien que Oswald devait certainement pu donner assez de détail aux russes pour leur permettre de l'abattre. C'est cet événement qui a fait couler le sommet de la paix entre le président Eisenhower et Kroutchev. On a commencé alors à penser que certains généraux de l'armée ne voulaient pas de cette paix et que Lee Harvey Oswald était un rouage dans le projet de faire saboter ce sommet. Lorsque Oswald revient au pays, le ministère des affaires extérieures lui délivre un passeport en 48 heures, il n'est aucunement interrogé et ne subit aucune accusation de trahison. Quant à sa femme, elle est sûrement l'une des citoyennes russes a avoir eu le moins de difficultés à quitter la Russie. Toutes ces coïncidences sont très bizarre. C'est à se demander si Oswald n'était pas en réalité en mission secrète pour le gouvernement américain.

On tente de retrouver deux témoins, Lee Bowers, qui affirmait avoir vu des hommes curieux se tenant derrière la clôture donna sur la rue où Kennedy a été abattu. Bowers est mort d'un accident d'automobile, seul, dans une route isolée du Texas. On tentait aussi de retrouver une pute qui vendait de la drogue pour un certain proxénète du nom de Jack Ruby qui avait été vu plusieurs fois avec Oswald. Elle a été retrouvé mort assassinée, sur le bord d'une route. Un danseuse de Ruby a confirmé avoir déjà vu son patron en compagnie d'Oswald et d'un autre homme qui avait de gros sourcils. Il a été établi plus tard qu'elle parlait de David Ferrie. Ensuite, ils rencontrent une témoin de l'assassinat prénommée Julia qui certifie à Garrisson que la copie de son interrogation était fausse et que la signature qui s'y trouvait n'était pas la sienne. Tout ça, pourtant, a été gobé par la Commission Warren.

L'équipe Garrisson a tenté de voir les rapports d'impôts d'Oswald. Le gouvernement leur ont refusé, prétextant que ce sont des documents classés. C'était la première fois qu'une demande d'un tel document était refusé. On a ensuite tenté d'avoir le dossier du FBI concernant Oswald qui ont été présentés à la Commission Warren. 1 200 documents en tout. Le gouvernement refuse à nouveau, jouant la carte de la sécurité nationale, cette fois.

L'équipe de Garrisson observe une déclaration que Lee Harvey Oswald a faite lorsqu'il fut interrogé par le capitaine Fritz au quartier général de la police. Ce dernier lui demandait si c'était bien sur une photographie retrouvé dans le garage de l'amie de sa femme, en tenu de combat, tenant des tracts communistes. Oswald a affirmé que la photo était truquée. Trois mois après l'assassinat de Kennedy et du sien, la photographie en question paraissait en page couverture du magasine Life. Faire valoir Oswald comme communiste aidait bien à s'assurer que le pays le déteste profondément et qu'il jure qu'il est coupable.

Un des plus important enquêteur de l'équipe Garrisson arrive avec une nouvelle qui allait enfin ouvrir des portes à des accusations et peut-être pouvoir fracassé la Commission Warren. On a identifié qui était Clay Bertrand. En fait, Clay Bertrand est un nom d'emprunt qu'utilise Clay Leverne Shaw, un important industriel fort connu de la Nouvelle-Orléans. L'équipe Garrisson n'en revient tout simplement pas qu'un type aussi bien réputé puisse avoir un lien direct sur la mort de Kennedy. La source de cette information est demeurée secrète, mais il s'agirait d'une révélation vraisemblablement d'un certain Perry Russo.

L'arme d'Oswald, quand elle fut retrouvée, fut envoyé au FBI afin d'y faire prélever des empreintes. L'arme revient une semaine à Dallas avec un rapport dans lequel le FBI affirme ne pas avoir retrouvé d'empreintes. Cependant, la police de Dallas en retrouve une. On a pensé que quelqu'un ait pu aller à la morgue pour coller la paume de la main du cadavre de Oswald sur l'arme mais celui-ci a été enterré moins d'une semaine après son assassinat, le lendemain de celui du président.

Le FBI a fait faire un test de tir avec l'arme de Oswald par ses meilleurs tireurs d'élite. Aucun d'eux n'a réussi à égaliser la performance d' Oswald alors que ce dernier était considéré comme un tireur ordinaire chez les Marines. Selon la Commission Warren, Oswald a tiré trois coups de feu en 3.6 secondes avec une précision remarquable, sans prendre le temps de concentrer sa mire, avec une arme qui n'est même pas automatique. Entre chaque détonation, il faut compter un minimum de 2 secondes pour réarmer le Carcano de Oswald. De plus, la lunette d'approche de l'arme était défectueuse. 3 coups de feu en 3.6 secondes ?

Enfin, Jim Garrisson obtient une entrevue secrète avec Clay Shaw. On lui demande s'il connaît David Ferrie. Négatif. On lui demande s'il connaît Lee Harvey Oswald. Négatif. On lui demande s'il connaît Willie O'Keefe. Pour une troisième fois, Shaw répond à la négative. Garrisson, cependant, lui indique que ces trois personnes-là ont affirmé l'avoir rencontré. Il se défend en disant que la Nouvelle-Orléans fourmillent de fou et de jaloux. Lorsqu'on lui demande s'il connaît un certain Clay Bertrand, Shaw répond qu'il croit connaître quelqu'un de ce nom à la Chambre de commerce. Garrisson aborde un article d'un journal Italien qui indique qu'il été membre du conseil d'administration d'une entreprise montée par la CIA dans laquelle il y avait des transferts de fonds pour financer l'espionnage politique. L'entreprise a été bannie de l'Italie pour cette raison. Shaw répond être au courant de cette article et songeait à entreprendre des poursuites pour diffamation. Cette même compagnie aurait des liens avec une autre entreprise en Louisiane et servirait à approvisionner David Ferrie et ses cubains pour l'achat d'armes. Shaw se dit victime de jaloux car il est le fondateur de l'importante foire du commerce qui est un événement majeur et que des hommes d'affaires jaloux tentent de le discréditer. Quand finalement Garrisson lui demande s'il a déjà travaillé sous contrat avec la CIA, Shaw répond que non, que si c'était le cas, il ne serait pas en train de discuter avec lui. Shaw se dit aussi attristé du meurtre de Kennedy car il est un ardent défenseur de ce pays et que Kennedy ne voulait que la paix pour son pays. Garrisson était certain, après cette entrevue, qu'il détenait un organisateur du complot dans l'assassinat de Kennedy.

Immédiatement après cette entrevue, l'enquête de Garrisson éclate au grand jour dans tous les journaux du pays. Selon eux, Clay Shaw a avisé les médias mais en se citant au nom de David Ferrie comme informateur, ce qui allait provoquer une mise à prix de la tête de Ferrie. Paniqué, Ferrie prend contact avec Garrisson et est informé que l'information a probablement été lancé par Clay Shaw. Lorsque Garrisson a demandé à Ferrie de qui il avait peur exactement, Ferrie avoue qu'il a peur de tout, même de lui-même, mais ceux qui craignaient le plus, c'était la filière cubaine. Il a affirmé que la CIA ne rigole pas. Il a aussi admit avoir connu Oswald, contrairement à ce qu'il avait dit lors de sa première interrogatoire par Garrisson. C'est Ferrie lui-même qui avait entraîné Oswald. Ferrie a admit être dans la CIA et ne pas pouvoir en sortir, que ceux qui y sont, ce n'est plus Dieu qui décide s'ils restent en vie ou non, mais l'Agence. Il a indiqué aussi que Shaw, Oswald et les cubains y étaient aussi, même la police de Dallas jusqu'à Jack Ruby, un tenancier de boite de nuit et proxénète qui encaissait pour la pègre de Dallas qui revendait des armes à Castro. Ferrie dit ne pas savoir qui exactement a tiré sur le président mais que s'il en parle, il craint pour sa vie et recommande aussi à Garrisson et son équipe de bien faire attention, qu'ils pourraient bien les avoir eux aussi. Garrisson avait eu cette même avertissement de Dean Andrews et de Jack Martin, qui, lui aussi, avait affirmé que des armes étaient destinés à Castro.

Dès ces affirmations, il y avait discussion dans le bureau de Garrisson pour que David Ferrie soit protégé, même si Garrisson n'avait pas de budget pour cela. Mais avant même qu'on clos le sujet, l'un des enquêteurs trouve des micro dans le bureau du Procureur général de la Nouvelle-Orléans, ce qui indiquait que le gouvernement commençait peut-être à s'inquiéter. C'est alors que Lou Ivon annonce à son chef, Garrisson, que David Ferrie est mort.

Au domicile de Ferrie, on retrouve deux lettres de suicide lettres non signée de Ferrie qui pourtant, avait peur de mourir. Il n'y avait pas de traces de violence sur le corps de Ferrie. On apprend au même moment que le meilleur ami cubain de Ferrie a été retrouvé mort, dans sa voiture, poignardé, une balle en plein coeur et le crâne fendu en deux. La cause de Garrisson venait presque de tomber car il ne reste plus de témoins crédibles pour lui. Il ne peut pas se fier sur la crédibilité de O'Keefe, un homosexuel prostitué et Jack Martin, un ivrogne, entre autre, pour condamner un homme réputé et respecté comme Clay Shaw. On trouve finalement un tube de proloïde dans le logement de Ferrie, un médicament sur ordonnance qui sert à stimuler le métabolisme alors que Ferrie était au contraire, en hypertension. Le médecin sur place dit que si un homme en hypertension prend du proloïde, c'est la mort à coup sûr, par crise cardiaque ou par anévrisme au cerveau, bien qu'il soit difficile d'en déceler des traces durant l'autopsie si on ne scrute pas la moelle épinière. Quand l'autopsie fut pratiquée sur le corps de Ferrie, on conclu qu'il est décédé d'un anévrisme au cerveau. Garrisson avait donc raison, il est inconcevable qu'un homme qui a peur de la mort laisse deux lettres de suicide sans les signer et se tue sans laissé de trace. Ferrie a donc été tué par quelqu'un.

Les aptitudes de Ferrie en matière d'aviation laisse croire que le niveau d'implication de Ferrie le jour de l'assassinat de Kennedy était d'aider les tireurs à fuir Dallas immédiatement après l'assassinat. Ferrie a été enterré avec les secrets, les réponses.

Peu de temps après, Garrisson est appelé à se rendre à Washington, qu'un informateur désirait le voir mais qu'il ne voulait pas se déplacer à la Nouvelle-Orléans. Les récents événements faisaient craindre de l'équipe qu'il s'agisse d'une façon d'attirer Garrisson pour le tuer mais celui-ci décida d'en courir le risque. C'est alors qu'il rencontre un ancien chef des opérations secrètes, des opérations "noires" qui n'a jamais voulu s'identifier. Ce qu'il s'apprêtait à confier à Garrisson était, jusqu'à ce jour, top secret.

Ce militaire était en Nouvelle-Zélande, sur la route du retour d'une mission au Pôle Sud, quand le président a été assassiné. À 19 heures, heure de Dallas, on accusait formellement Oswald d'avoir tué le policier Tippit, ce qui veut dire à 14 heures le lendemain, à l'heure de la Nouvelle-Zélande. Seulement, là-bas, les journaux racontaient qu'un certain Lee Harvey Oswald avait tué le président, on fournissait une biographie complète d'Oswald, des détails alors qu'à Dallas, on l'accusa du meurtre de Kennedy quelques heures plus tard. C'est alors qu'il s'est demandé ce qu'il faisait en Nouvelle-Zélande en train de remplir une mission que beaucoup aurait pu remplir à sa place quand sa véritable mission aurait été d'être à Dallas ce jour-là pour garantir une sécurité accrue au président puisqu'il se trouvait dans une région des États-Unis qui déjà lui était hostile.

Parce que s'il avait été là, même s'il a fait une journée merveilleuse à Dallas, il n'aurait jamais permis que la limousine se promène sans bulle anti-balles, surtout pas dans un endroit comme Dallas. Il aurait sans hésiter placé 200 hommes sur le terrain, il serait arrivé des jours à l'avance pour étudier le parcours, vérifier les immeubles, il n'aurait jamais accepté toutes ces fenêtres vides et grandes ouvertes qui donnent sur la rue Dealey. Les tireurs d'élite auraient couvert le secteur et si jamais une fenêtre s'était ouverte, ils auraient bondi sur leur radio pour boucler l'immeuble. Ils auraient surveillé la foule, les paquets, les journaux roulés et les manteaux pliés sous le bras. Ils n'aurait jamais permis à un homme d'ouvrir un parapluie le long du parcours. Mais ce qui s'est passé ce jour-là a été une violation du code de protection les plus élémentaires. Ça sentait le complot.

4 minutes après qu'on ait tiré sur le président, tout le réseau de téléphone de Washington tombait en panne durant une heure pour éviter que des fausses histoires ne se répètent si le plan venait à échouer. Tout avait été pensé, il ne fallait pas que Kennedy s'en tire vivant. Personne ne peut mener un tel projet s'il n'a pas la participation des services pour lesquelles il travaillait et c'est là qu'il a fait un lien entre l'événement et sa soudaine mission au Pôle Sud. Ce chef des opérations secrètes en avait assez d'entendre parler du qui et du comment au sujet de l'assassinat. Il voulait entendre parler que du pourquoi. Quant au qui, est-il vraiment nécessaire de savoir qui a tiré sur le président et de quelle toiture ? Ou bien le qui ne serait-il pas de savoir qui a le plus profiter de cet assassinat et qui avait le pouvoir de tout dissimuler. Qui ? On voit bien qu'il visait directement Lyndon Johnson, le nouveau président.

En mars 1963, Kennedy annonce d'importantes coupures budgétaires qui touchaient particulièrement la CIA. De plus, ses intentions de vouloir terminer la guerre froide avec les russes, celle de ne plus vouloir envahir Cuba et se retirer du Vietnam mettait fin, s'il y arrivait, à une valse de plusieurs milliards de dollars.

Bell Hélicoptère, par exemple, fournissait l'armée durant la guerre du Vietnam où 3 000 appareils furent abattus. Bell était presqu'en faillite lorsque la First National Bank de Boston propose à la CIA de développer un type d'hélicoptère. Bell en aurait retiré le contrat.

Le 26 novembre, le lendemain des funérailles de Kennedy, Lyndon Johnson renverse les politiques de retrait du Vietnam avant la fin de 1965 mis en place par Kennedy et donne le feu vert aux activités secrètes de l'armée au Vietnam.

De retour chez lui, Garrisson constate que lui et sa famille font de plus en plus l'objet de menaces. Une campagne de discrétion sur lui-même s'amorce. Des gens qu'il avait fait condamné ont dit l'avoir vu promettre à Willie O'Keefe une libération en échange de son témoignage contre Clay Shaw et David Ferrie qu'il a vu en train de discuter de la façon de tuer Kennedy. Garrisson dit être en mesure de faire condamné Clay Shaw même si son nom ne figure dans aucune page des 26 volumes produits par la Commission Warren. Quant à Warren, il ne se disait pas inquiet, puisque Garrisson ne prouvera rien de plus que sa commission.

Garrisson était armé d'un autre argument solide juste avant de se présenter en cour, car il venait de faire arrêter Clay Shaw pour conspiration et complices avec d'autres personnes pour le meurtre du président américain John F Kennedy. Il obtient une copie d'un télex reçu par le bureau du FBI de la Nouvelle-Orléans, datée du 17 novembre 1963 dans laquelle un certain Lee Harvey Oswald avise qu'un groupe de paramilitaire révolutionnaire s'apprête à tuer le président lorsqu'il sera à Dallas, le 22 suivant. Garrisson a mit la main sur une copie de cette lettre qui lui a été remise par William Walter, le commit de service du soir au FBI de la Nouvelle-Orléans et pourtant, même si le télex avait été envoyé partout au pays, peu de temps après la mort de Kennedy, le télex a disparu de tous les dossiers de tous les bureaux du FBI au bureau car une telle preuve devenait trop lourde à porter.

Ce que je reproche au film c'est que le procureur traîne en cours une seule personne et pas LA CIA ni le Gouvernement et non plus LYNDON JOHNSON ...... la reine Élisabeth 1 et le prince Philip ont des comptes à rendre et.....

Et puis on se rend bien compte que les balles meurtrières furent tirées de l'intérieur de l'auto où Kennedy était...... Connaly est suspecté de s'être blessé lui-même (ou un autre l'a fait) afin qu'on ne pense pas que c'est lui qui a fait explosé le crâne de Kennedy.....et comme l'une des balles est entrée par le cou de bas en haut, il n'y a que Conally qui pouvait faire cela...... et le chauffeur a tiré .....

Le chauffeur de la voiture présidentielle, William Greer est mort en 1985, et l'agent à ses côtés, Roy Kellerman en 1984

Connally sert pendant la Seconde Guerre mondiale après laquelle il devient assistant de Lyndon Johnson, alors jeune élu du Texas et avec lequel il maintint des liens étroits quand Johnson pratiqua le droit au Texas.Connally secrétaire à la Marine en 1961.


John Kennedy, devant lui se trouve le couple Connally, disposé de la même façon. ... ce qui laisserait supposer que le président a été abattu par un tir de face; d'autres, ont montré ...

John Connally est droit sur son siège, il tient toujours son chapeau de la main droite et va le tenir de façon visible jusqu'à la Z 280, ce qui prouve qu’il n’est pas touché.

Car il est indéniable que depuis le début de la fusillade, John Connally n'a ni le comportement, ni l'apparence d'un homme grièvement blessé par balle.

D'ailleurs John Connally a toujours affirmé qu'il avait eu le temps de se tourner vers le Président avant d'être touché à son tour par un tir manqué.


A la vue du film de Zapruder il semble évident que le tir soit frontal.....